Connaître LA PAROLE DE DIEU

Soutenant toutes choses par SA PAROLE PUISSANTE, Hébreux 1:3.
L'ÉTERNEL DIEU VIVANT soutient tout ce qui existe par SA PAROLE PUISSANTE ; cette déclaration englobe la vie de tous ceux qui croient en JÉSUS-CHRIST LE BON BERGER. C’est pourquoi, il est bon de connaître et mettre en pratique quotidiennement LA PAROLE DE DIEU, Source de bonheur spirituel, sanitaire et matériel, afin de prospérer à tous égards.

Il est impératif de méditer la Bible jour et nuit, pour approfondir la connaissance de L’Évangile de Paix, et être en communion permanente avec LE DIEU TRÈS-HAUT. Ainsi, la méditation Biblique permet d’être fortifié dans l'homme intérieur, car elle apporte le bien-être dans la vie du croyant.

Notre SEIGNEUR JÉSUS nous l’a rappelé dans Matthieu 4:4 en déclarant : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de Toute PAROLE qui sort de La Bouche de DIEU.
Connaître LA PAROLE DE DIEU, c'est connaître DIEU.

En effet, une vie chrétienne soutenue par LA PAROLE PUISSANTE DE DIEU est victorieuse ; car LE SEIGNEUR donne de la réussite dans tous les domaines de l'existence de Ses Enfants.

Voici ce qu'a dit L’ÉTERNEL à Josué, successeur de Moïse : Que ce livre de la loi ne s'éloigne pas de ta bouche ; médite-le jour et nuit, pour agir fidèlement selon tout ce qui y est écrit ; car c'est alors que tu auras du succès dans tes entreprises, c'est alors que tu réussiras, atteste Josué 1:8.

C'est pour cela que lorsqu’on observe la vie de ceux qui lisent régulièrement la Bible, et mettent en pratique ce qui y écrit, on constate que leurs existences sont remplies de témoignages de La Puissance de LA PAROLE DE DIEU. Car L’ÉTERNEL Notre DIEU agit en faveur de ceux qui espèrent en LUI. LE TOUT-PUISSANT leur donnant du succès dans les entreprises, témoigne Néhémie 2:20.

La méditation des Saintes Écritures s'effectue pas comme s’il agissait d’un roman ou d’un magazine, mais avant de lire la Bible, il convient de demander au SEIGNEUR ÉTERNEL par la prière : l’intelligence, la sagesse et la révélation. En effet, la révélation des PAROLES du DIEU TRÈS-HAUT éclaire, elle donne de l’intelligence aux simples, dévoile le Psaume 119:130.

Que cette recherche de la connaissance de LA PAROLE DE DIEU soit votre quête journalière. Comme pour tout chrétien qui désire obtenir la Victoire en JÉSUS-CHRIST LE SAUVEUR DU MONDE !

CE DIEU POUR QUI JE COMPTE

Il existe beaucoup de possibilités pour estimer la valeur d`un être humain. On peut la calculer en tenant compte des différents « matériaux » qui entre dans sa composition et parvenir ainsi à divers résultats. Il est plus courant de fixer une estimation en fonction soit du travail accompli, soit des revenus. Les montants phénoménaux exigés pour le transfert de certains joueurs de football sont ici une excellente illustration de ce mode de calcul.
Il se peut aussi qu`un homme ait beaucoup de valeur pour moi parce qu`il a de nombreuses relations qui pourraient m`être utiles un jour. Ici, c`est donc le profit, direct ou indirect, qui sert de critère. Celui qui n`a rien à offrir n`a pas beaucoup de valeur. Il se noie dans la masse des « perdants » et des « anonymes ».
Pour Dieu, il en va tout autrement. Pour lui, chaque être humain a de la valeur.
Fils et filles de Dieu.
La Bible contient de nombreuses déclarations significatives qui permettent de déterminer la valeur d`un chrétien. Elles peuvent toutes se résumer à celle-ci :
« Voyez combien le Père nous a aimés ! son amour est tel que nous sommes appelés enfants de Dieu – et c`est ce que nous sommes réellement. … Mes amis, nous sommes maintenant enfants de Dieu … quand le Christ paraîtra, nous deviendrons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu`il est. » (1 Jean 3 :1,2.)
Le doute n´est pas permis.
Etes-vous un fils ou une fille de Dieu ? Pouvez-vous répondre clairement para oui ou par non à cette question ? Si vous hésitez, c`est que vous n`avez aucune certitude !
Un exemple tout à fait banal peut nous aider à comprendre ce point. Si quelqu`un vous demande : « Avez-vous des enfants ? », vous n`avez pas besoin de réfléchir pour répondre.
Pour savoir si l`on est chrétien, il en est de même. Vous devriez savoir si vous êtes fils ou fille de Dieu ou non. La Bible vous aide à répondre à cette question.
Une valeur certaine.
Celui qui croit en Jésus et a été baptisé se trouve dans une nouvelle position para rapport à Dieu.
« Car c`est par la foi que vous êtes fils de Dieu dans l`union avec Jésus-Christ. Vous tous, en effet, avez été baptisés pour être unis au Christ et vous vous êtes ainsi revêtus de la condition nouvelle qui est dans le Christ. » (Galates 3 :26,27).
Du même coup, il va chercher à vivre dans son existence ce que Dieu attend de lui. Sa vie nouvelle va se distinguer de sa vie ancienne, comme le décrit si clairement l`apôtre Paul (Colossiens 3 :1-17). Sa relation avec les autres va aussi être modifiée :
« Mais maintenant, rejetez tout cela : la colère, l`irritation et la méchanceté. Qu`aucune insulte ou parole grossière ne sorte de votre bouche … Vous êtes membres du peuple de Dieu ; Dieu vous a aimés et vous a choisis pour que vous soyez à lui. C`est pourquoi vous devez vous revêtir d`affectueuse bonté, de bienveillance, d`humilité, de douceur et de patience. » (Colossiens 3 :8,12.)
Une valeur montante.
Le chrétien ne connaît pas le sur-place. Il cherche toujours à progresser. C`est ce qu`appréciait l`apôtre Paul chez les chrétiens de Thessalonique :
« Nous devons sans cesse remercier Dieu à votre sujet, frère. Il est juste que nous le fassions, car votre foi progresse beaucoup es l`amour que chacun d`entre vous a pour les autres augments de plus en plus. » (2 Thessaloniciens 1 :3.)
Cette croissance n`est pas automatique. Pour croître, il faut se nourrir. Voice ce qui peut assure notre développement :
1. La prière : Philippiens 4 :6)
2. La lecture da la Bible : Matthieu 4 :4.)
3. L`obéissance : (Jean 4 :34.)
4. Le partage communautaire (Actes 2 :44, 46,47.)
5. La proclamation de l`évangile (1 Jean 1 :2)
6. L`épreuve de la souffrance (1 Pierre 5 :10.)

ENSEIGNEMENT SUR LA RESTAURATION

"IL restaure mon âme, IL me conduit dans les sentiers de la justice à cause de SON NOM" "Psaume 23:3.

1. Définition de la restauration :
La restauration de l’âme est une Action du SEIGNEUR visant la régénération de ce qui avait été détruit par le malin. Au travers du péché qui est une désobéissance à LA PAROLE DE DIEU.
La Bible déclare dans Psaume 107:17-20 : Les insensés, par leur conduite coupable, et par leurs iniquités s’étaient rendus malheureux. Leur âme avait en horreur toute nourriture, et ils touchaient aux portes de la mort. Dans leur détresse, ils crièrent à L’ÉTERNEL, et IL les délivra de leurs angoisses ; IL envoya SA PAROLE et les guérit, IL les fit échapper de la fosse.
C'est ainsi que LE SEIGNEUR ÉTERNEL avait restauré ceux qui, à cause de leurs péchés, avaient mis en péril leurs propres vies. Dans le malheur, ils crièrent à DIEU qui les secourut par SA PAROLE PUISSANTE. C'est pourquoi dans les situations difficiles, il est indispensable d'implorer LE DIEU TOUT-PUISSANT pour être délivré.

2। Comment obtenir cette restauration ?
Il est écrit dans Romains 12:2 : Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la Volonté de DIEU, ce qui est bon, agréable et parfait.
L’intelligence symbolise l’homme intérieur ; c’est elle qui dirige le corps. D’où la nécessité d’une restauration de la pensée qui doit être sous le contrôle du SAINT-ESPRIT, afin de combattre les mauvaises œuvres inspirées par le malin.

L’Enfant de DIEU doit avoir en soi les sentiments qui étaient en JÉSUS-CHRIST, recommande Philippiens 2:5. C'est ainsi que la personne restaurée fera de L’ÉTERNEL Ses Délices, selon Psaume 37:4, et obtiendra ainsi de la part du SEIGNEUR ce que son cœur désire, à savoir :
La bonne santé : d’après 3 Jean 2, qui souhaite que l'on soit en bonne santé, comme prospère l’état de l'âme.
La jeunesse : car c’est L’ÉTERNEL qui te fait rajeunir comme l’aigle, selon Psaume 103:5.
La prospérité : Mon DIEU pourvoira à tous vos besoins selon Sa Richesse, avec Gloire en JÉSUS-CHRIST, promet Philippiens 4:19.
Le mariage : C’est par la Grâce du SEIGNEUR qu’une femme dédaignée se marie, affirme Proverbes 30:23.
La fécondité : Notre PÈRE CÉLESTE délivre de la stérilité ; c’est pourquoi même la stérile enfante sept fois, déclare 1 Samuel 2:5.

3. Exemples de personnes restaurées :
David :
Il perdit la royauté et prit la fuite devant Absalom, dans 2 Samuel 15:13-14, mais il espérait trouver grâce aux Yeux de L’ÉTERNEL, en 2 Samuel 15:25. À la fin, David redevint roi, reconnu dans 2 Samuel 19:8.
Job :
Cet homme intègre avait sept fils et trois filles, sept mille brebis, trois mille chameaux, cinq cents paires de bœufs, et cinq cents ânesses, dénombrés dans Job 1:1-3. Mais, il les perdit en un seul jour, racontent Job 1:13-20, et de surcroît fut gravement malade. Cependant, il ne pécha point par ses lèvres, d’après le récit de Job 2:10, car ce Serviteur de DIEU demeura ferme dans son intégrité.

L’ÉTERNEL le rétablit dans son premier état, quand il eut prié pour ses amis ; L’ÉTERNEL lui accorda le double de tout ce qu’il avait possédé, témoigne la Bible dans Job 42:10-13:
Quatorze mille brebis, six mille chameaux, mille paires de bœufs, et mille ânesses. Et il eut sept fils et trois filles ; soit un total de quatorze fils et six filles au cours de sa vie bénie de plus de cent quarante ans.
Nebucadnetsar :
Le roi de Babylone fut chassé du milieu des hommes, il mangea l’herbe comme les bœufs, et vécut sept ans de démence, à cause de l'élévation de son cœur, raconte les Saintes Écritures en Daniel 4:33.
Mais après le temps marqué, la raison lui revint, et il fut rétablit roi ; car il reconnut la Souveraineté du DIEU TRÈS-HAUT, relatent Daniel 4:34-37.
La restauration de l'âme précède une restauration matérielle.
Quel que soit ton problème, LE SEIGNEUR ÉTERNEL a le pouvoir de te restaurer par SA PAROLE PUISSANTE au NOM DE JÉSUS.

LES SERMENTS DE DIEU

1 Serments en vue de la bénédiction

1.1 Promesses inconditionnelles

Dieu scella du plus solennel serment la promesse qu’il fit à Abraham et à sa semence issue d’Isaac. Ce fut après que le patriarche eut accepté de sacrifier cette semence elle-même (Genèse 22:2). Il n’avait pas refusé ce fils unique d’où devait naître cette semence et sur qui reposaient les promesses (Héb. 11:12, 13). L’Éternel dit alors : «J’ai juré par moi-même» (Gén. 22:16). Il n’avait évidemment personne de plus grand par qui jurer. Il donne par là à la foi d’Abraham une plénitude absolue d’assurance, pour qu’il persévère jusqu’à la fin. Abraham pourra dire : «Tu m’as juré», lorsque le moment sera venu de donner une épouse à Isaac (Gén. 24:7). Moïse rappelle cette promesse avec son serment en Exode 32:13, et il en étend la portée à Isaac et Jacob qui sont les cohéritiers de l’alliance unilatérale, sans condition, promise en Genèse 17, alliance établie de la façon la plus ferme, sur la base de la résurrection du Fils unique dont Isaac est la figure.

1.2 Promesses conditionnelles

Les promesses faites à David et à sa semence, tant au Psaume 89 (v. 35) qu’au Psaume 132 (v. 11), sont, certes, du Dieu qui ne peut mentir, mais elles n’ont pas cette majesté souveraine ; l’alliance n’est pas unilatérale, elle vient après la loi, et son accomplissement comporte une part de responsabilité chez les descendants de David, jusqu’à ce que se lève le vrai David, Christ.

1.3 Accomplissement des promesses en Christ et par Christ qui seul a assumé sa responsabilité

«J’ai juré par moi-même». Il y a là comme une suprême garantie mise sur les promesses faites antérieurement au patriarche et encore élargies. Un tel serment est irrévocable. Il est significatif que cette garantie n’accompagne pas les serments concernant les promesses conditionnelles, essentiellement celles faites à David au Ps. 89. Christ est la semence d’Abraham, le père des croyants, il est le possesseur des promesses sans condition ; David est son descendant royal, mais lui et sa postérité sont soumis aux promesses conditionnelles. Matthieu 1:1 met en relief cette appartenance à la même lignée, mais quelle histoire affligeante est évoquée par la plupart des «générations» qu’elle dénombre ! Romains 1:1 met en relief Jésus comme le «Fils de Dieu», «né de la semence de David» ; il a tous les droits que cette paternité lui donne, mais seul de tous les hommes il a assumé victorieusement les responsabilités que ces droits entraînaient, et c’est selon l’Esprit de sainteté qu’il a été «déterminé Fils de Dieu en puissance» (Cf. 1 Timothée 3:16).

Tout ceci est d’autant plus remarquable que ce sceau souverain «par moi-même» est apposé seulement après la mort et la résurrection, en figure, d’Isaac, le fils unique duquel dépendait l’accomplissement des promesses (Héb. 11:17-19). Tout le merveilleux conseil de la rédemption repose sur l’œuvre accomplie une fois pour toutes à la croix de Golgotha par notre Sauveur, à la gloire de Dieu. Il a été déterminé Fils de Dieu en puissance, selon l’Esprit de sainteté, par la résurrection des morts, lui-même subissant la mort pour en triompher. Dieu avait dit, quand ce Fils a pris place comme homme ici-bas : «Tu es mon Fils, moi je t’ai aujourd’hui engendré» et, l’œuvre de grâce faite, il l’accueille, quand il prend place glorifié dans le ciel après avoir souffert (Actes 1:3, 9) en lui disant : «Assieds-toi à ma droite... Tu es sacrificateur pour l’éternité».

2 Serments en vue du jugement

2.1 La menace

En contrepartie effrayante pour qui n’a que la vie d’Adam, l’Écriture mentionne à bien des reprises les serments proférés par Dieu en vue de jugements. La plupart prennent à témoin tel ou tel titre, appellation ou attribut de Dieu, que des pécheurs ont offensé. Ainsi jure-t-il «par» son nom, son grand nom, sa sainteté, sa gloire, la gloire de Jacob, ou encore par sa colère, par sa droite, etc. Notre propos n’est pas d’en dresser la liste, mais le lecteur attentif aura profit à chercher et à comparer les passages s’y rapportant.

Les prophètes, les Psaumes, sont remplis d’invectives et de menaces contre les ennemis de l’Éternel et de son peuple Israël : Amalek, l’Assyrie, Babylone, Édom, les nations en général. Mais Israël lui-même en est l’objet ; et, soit en Israël, soit parmi les nations, des hommes particuliers comme Éli, et jusqu’à Moïse (Deut. 4:21). Et dans des cas particulièrement solennels c’est le «par moi-même» souverain qui se fait entendre. Ainsi en Ésaïe 45:23, Jérémie 49:13 ; 51:14.

Mais toutes les menaces jurées n’ont pas eu leur exécution. Beaucoup d’entre elles ne l’auront qu’au grand jour de la colère, au jour que Dieu «a établi auquel il doit juger en justice la terre habitée, par l’Homme qu’il a destiné à cela, de quoi il a donné une preuve certaine à tous, l’ayant ressuscité d’entre les morts» (Actes 17:31 ; Romains 2:16). D’autres ont été révoquées, ou suspendues plus ou moins longtemps. Tout genou se ploiera devant Dieu jugeant les hommes par Christ ; pour les uns, la bénédiction éternelle qui était déjà leur part assurée, pour les autres la condamnation sans rémission. Mais jusque-là Dieu a des «repentirs», il revient sur ce dont il a menacé.

2.2 Le repentir suspend l’exécution du jugement

Quand le fait-il ? Quand l’homme, individu, famille ou peuple, s’est lui-même repenti, confesse son péché, écoute la parole divine. Ninive a été épargnée, alors que Sodome avait refusé d’écouter. La prière de Salomon évoque devant Celui qui «écoute et pardonne» à peu près tous les cas possibles pour Israël. Sous la loi comme sans loi (ce fut le cas pour toute l’humanité d’Adam à Moïse) (Rom. 5:12-14 ; 2:12-16) — dans tous les temps et en tout lieu la bonté de Dieu pousse à la repentance, et Dieu sait qui écoute lorsqu’il parle (Cf. Job 33:14-17). La repentance peut être simulée (Ps. 18:44), extérieure, superficielle, éphémère, et ses effets passagers, mais elle a pu être le fait d’une action de l’Esprit de Dieu, auquel on a, ou cédé pour la vie, ou résisté pour la mort. Un Achab, un Manassé, d’autres encore, ont eu une repentance ; Dieu est le seul juge de sa valeur. Et que de fois, chers enfants de Dieu qui sommes sauvés avec certitude par la foi, avons-nous à courber le front dans la repentance «dont on n’a pas de regrets», pour que nos manquements, pardonnés en vertu de l’œuvre de Christ, la propitiation pour tous, ne rompent pas définitivement notre communion avec le Père et le Fils !

Du commencement à la fin deux grands principes s’affirment, de ce que Dieu nous révèle de ses voies impénétrables :

1° Dieu ne veut pas la mort du coupable, mais sa conversion et sa vie, et il a pourvu à notre salut.

2° la CRAINTE DE DIEU, commencement de la connaissance et de la sagesse, est «le tout de l’homme» (Eccl. 12:13, 14).

La bonté de Dieu pousse à la repentance. Il veut que tous soient sauvés (1 Tim. 2:3, 4). Qu’est-ce qui s’oppose à cette volonté divine ? La propre volonté de l’homme, encore et toujours inimitié contre Lui. Il peut la briser, mais sur la base du sacrifice de Christ. Un seul homme a répondu à la volonté éternelle du Dieu de sainteté et d’amour : son Fils bien-aimé, l’homme parfait, et Celui-ci, parce qu’il était parfait, a pris sur Lui tout ce que nous aurions mérité.

Que le chant de louange à la gloire du Père

S’élève de nos cœurs, par son amour ravis,

Et que l’hymne éternel, commencé sur la terre,

Exalte, glorifie et le Père et le Fils.

PAS DE FAUSSE MODESTIE

Une chose est sûre, en fin de compte : je suis pour Dieu un être cher.
C`est ce qu`indique, entre autres, le prophète Esaie (43 :1-4).
Certes, les chrétiens sont eux aussi des êtres pleins de défauts, de faiblesses et de péchés. Il est même possible que plus d`un parmi eux ne perde courage s`il regarde à ses imperfections. Ou qu`à l`inverse, d`autres soient sûrs d`être parfaits et sans péchés.
Les sentiments sont trompeurs. Nos états d`âmes sont fluctuants. La seule certitude d`être un enfant de Dieu, c`est la confiance dans le Christ qui la procure. C`est lui qui a pris notre culpabilité en mourant sur la croix. Ce fait indéniable est le fondement de notre foi :
« …Dieu nous a donné la vie éternelle et cette vie nous est accordée en son Fils. Celui qui a le Fils a cette vie ; celui qui n`a pas le Fils de Dieu n`a pas la vie. » (1ª Jean 5 :11,12).
Celui qui a accepté d`être sauvé par Jésus peut faire valoir ses droits para rapport à cette promesse. Etre modeste ici équivaudrait à un manque de foi. Ce n`est que la relation avec le Christ qui assure le salut. Voilà pourquoi être chrétien c´est être joyeux !
« Soyez toujours joyeux d`être unis au Seigneur. Je le répète : Soyez joyeux ! » Phillippiens 4 :4